Marianne Trudel vous propose un univers sonore riche et métissé dans
lequel la composition et l’improvisation s’entrelacent avec brio. Aux influences du jazz et de la
musique classique ajoutez celle des musiques improvisées, le tout en équilibre sur le fil de la
création.
Marianne Trudel: piano.
«Les mélodies sont créatives et savoureuses. À mettre entre toutes les
mains.» — Gabriel Bélanger, SOCAN, Paroles & Musique #12:3 (Canada), septembre 2005
→ Lire le texte complet
«… personnalité créatrice porteuse de liberté et d’imagination […] jeune
créatrice qui semble sortir des sentiers battus…» — Nicolas Fréchette, L’Express d’Outremont
(Québec), mai 2005
«[Ce] disque solo […] peut être comparé à celui de Gonzales pour la délicatesse qui s’en dégage, pour la richesse de
l’intériorité.» — Alain Brunet, La Presse (Québec), avril 2005
→ Lire le texte complet
«Le piano à queue est un instrument soliste lourd, mais elle l’emmène en des
endroits où on ne l’a jamais entendu auparavant…» — Dean Cottrill, L’Express d’Ottawa
(Canada), mars 2005
→ Lire le texte complet
«★★★★» — Dean Cottrill, Hour (Québec), mars 2005
«Comme sa musique, Marianne Trudel est vive,
passionnée.» — Louis-Charles Mignot-Grenier, Quartier Libre #12:12 (Québec), février 2005
→ Lire le texte complet
«… une douce rébellion, à l’image de cette artiste autonome qui s’occupe de
tous les aspects de sa carrière, de la création […] à la production.» — Denys Lelièvre, Voir
(Québec), février 2005
«Seize plages poétiques finement ciselées, un très beau travail de découpage
qui n’est jamais redondant et une sûreté dans l’interprétation qui annonce de beaux jours. À suivre
absolument!» — Christophe Rodriguez, Le Journal de Montréal (Québec), février 2005
«… le lyrisme français, les souches rythmiques claires inspirées d’artistes
comme Keith Jarrett, la musique improvisée et le mélodisme riche de la
musique du monde.» — Paul Serralheiro, La Scena Musicale (Québec), novembre 2004
→ Lire le texte complet
«… l’éloge du silence «cette denrée rare» dans un monde où les gens sont
toujours hyperstimulés…» — Anne Drolet, Le Soleil (Québec), septembre 2004
→ Lire le texte complet